Le Palais de Tokyo, créé en 2002, réveillait Paris : anti-musée par excellence, friche rebelle dans le 16e arrondissement, “palais” décalé et ambitieux, lieu d’échanges et de surprises, il fut le pionnier d’un mouvement de réconciliation entre la Ville Lumière et l’art contemporain. Son modèle puis sa programmation ont fait école bien au-delà des frontières françaises, aussi bien dans le cercle des spécialistes que parmi les amateurs et le grand public.