Le musée d’art moderne propose une programmation dense, à dimension internationale, afin de maintenir une actualité permanente. Proposant une vision « ni consacrée ni consensuelle », la programmation contribue à déterminer l’identité du lieu et à assumer cette notion de « décalage », notamment par rapport aux musées nationaux. Cette politique de programmation permet une ouverture à des publics différents (générations, médium,…) et par conséquent un mélange de ces publics : public de l’art moderne, de l’art contemporain, de la vidéo, de la BD par exemple.